top of page

BIORÉSONANCE ET MÉTAUX LOURDS


Les métaux lourds ont été massivement utilisés dans l'industrie et en agriculture. Ils sont toujours très présents dans notre environnement et représentent un danger sur le long terme en s'accumulant dans les os et dans les organes au fil du temps. Alors quels risques représentent-ils et comment diminuer les sources de contamination ?


Les sources de contamination par les métaux lourds sont nombreuses. On en trouve par exemple dans l’air, l’eau potable, le sol, la poussière domestique, les jouets vintage, dans les aliments que nous consommons tous les jours et même dans les vaccins.


On peut également retrouver des impuretés de métaux lourds dans les produits cosmétiques en raison de la nature persistante de ces substances et du fait qu'elles se retrouvent naturellement dans l'environnement. Le plomb, l'arsenic, le cadmium, le mercure, l’aluminium, l’uranium et l'antimoine font partie de ces indésirables. Rassurez-vous, ces substances survivent en quantité bien inférieure au degré acceptable : alors ne craignez donc pas votre rouge à lèvres !


Dernièrement, suite à une recommandation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la Suisse a décidé d'abaisser la valeur de l’arsenic dans l’eau potable à 10 microgrammes au lieu de 50, obligeant plusieurs communes, notamment en Valais, dans les Grisons et au Tessin, à mettre en conformité leur réseau*.


Par contre au fil des années notre organisme stocke des quantités de métaux lourds qui deviennent néfastes pour notre santé et qui peuvent provoquer des troubles neuromusculaires, des troubles métaboliques et des problèmes comportementaux.


Souvent indécelables lors d’examens médicaux classiques, les métaux lourds intoxiquent directement nos cellules et prennent la place des oligo-éléments qui sont des catalyseurs d’activités enzymatiques essentiels. Cette substitution a pour effet d’inhiber de nombreuses fonctions vitales au niveau cellulaire et perturbent par voie de conséquence le fonctionnement normal de notre système immunitaire. Cela explique la hausse importante de maladies auto-immunes dont la fréquence ne cesse d’augmenter.


Le seul cas du mercure présente des sources très diverses : amalgames dentaires, conservateur dans les vaccins, matériaux plastiques, encres d’impression, pesticides organo-mercuriels, air pollué des usines, bris de néons et d’ampoules à économie d’énergie, poissons et mollusques... En cas d’excès de métaux lourds, on observe des signes de tremblements musculaires, de convulsions, de paralysie temporaire ou définitive, d’hypersalivation, de stomatite, de parodontite, d’autisme et de maladies auto-immunes. Chez l’enfant l’on constate principalement une hyperactivité et des troubles de l’attention.


En matière de désintoxication, faites attention aux substances chélatrices comme la Chlorella pyrenoidosa qui peut provoquer des maux de tête, des malaises digestifs, une baisse de l’humeur et des douleurs articulaires, voir à hautes doses un vieillissement accéléré ! On lui préfèrera l’algue brune Laminaria japonica dont l’alginate est un puissant capteur de métaux lourds.


La désintoxication des métaux lourds par un traitement de biorésonance est plus rapide et particulièrement efficace en dépistage (prévention), mais également comme traitement pour endiguer l’intoxication et l’éliminer sans aucune douleur afin de protéger les fonctions vitales des cellules de notre organisme.


Aniko Dénériaz-Erdei

Tel. 079 293 70 00


* Recommandation OMS sur l’arsenic. Source RTS 12.2018

Posts à l'affiche
Posts Récents
Retrouvez-nous
  • Facebook Basic Square
  • Twitter Basic Square
  • Google+ Basic Square
bottom of page